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Écritures vagabondes – Pays du Mené

Contrat Territoire-Lecture 2016-2019

Auteur

brigittemouchel

Portrait

En lien avec ma résidence, un portrait est paru dans la revue de « Livre et Lecture en Bretagne »

à lire ICI

Un portrait sensible du Mené

La fin de ma résidence approche…
Pour découvrir, échanger, lire, écouter…
C’est samedi 10 et dimanche 11 juin
à Saint-Vran, au jardin du Guédou

Tout est prévu pour une fête! avec des déambulations en musique et poésie, des spectacles, une exposition…

On pourra y découvrir mon texte poétique, écrit tout au long des semaines passées dans le Mené.
Mais également les créations réalisées avec des élèves du collège Per-Jakez Hélias de Merdrignac, des enfants des écoles primaires publiques de Plessala, Langourla, Merdrignac, Illifaut, les textes écrits en ateliers d’écriture à la médiathèque de Merdrignac et Illifaut.
L’ensemble formant un « portrait sensible » du pays du Mené.

Vous y verrez aussi tout ce qui a été réalisé cette année dans le cadre du Contrat-Territoire-Lecture, accompagné par l’ODCM.

Rendez-vous dès 9h30 et jusqu’à 18h
C’est gratuit avec un pique-nique partageur, buvettes, apéritif offert.
infos: ODCM – 02 96 51 30 25

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Soirs tranquilles de printemps

On tricote un pull-over en pensant à vous.
A l’heure tranquille des soirs de printemps.
Le tricot aux couleurs de la campagne, maille après maille.
Des mosaïques de verts, de bleus, de bruns.
Parcelles à caresser, stries de semis et de labours.
Les pousses de maïs comme un duvet à perte de vue.
Les champs encore nus semés de corbeaux.
On pourrait être heureux, on aimerait.
C’est sans compter les nouvelles du monde.
C’est sans compter les mailles du tricot.
On viendra vous offrir ce tricot doux avec des brassées de marguerites.
A l’heure tranquille des soirs d’automne.

Plus tard… qui sait?

Extraits d’un texte collectif écrit par les enfants de CM1 et CM2
de l’école Simone Darcel de Plessala

Peut-être qu’il y aura des voitures volantes, de la téléportation pour voyager plus vite.
On ne pourra plus beaucoup conduire. Les robots nous remplaceront au travail. Il n’y aura plus beaucoup de forêts.
Il y aura des robots pour Kermené ou d’autres endroits. Il y aura des robots qui iront à l’école à notre place.
J’aurai un mari responsable. J’aurai plein d’enfants (si mon mari veut bien).
J’aimerais aussi que personne ne meure et que tout le monde reste jeune. J’aimerais qu’on respecte plus la nature et la vie.
Je pense qu’il y aura des guerres. Je pense qu’il y aura de bonnes personnes. Ce ne sera pas comme dans le lointain passé. Il y aura moins d’arbres. Il y aura plus et trop de pollution.
J’ai peur qu’il ne manque de l’eau et de la nourriture. J’ai envie de voyager et qu’il n’y ait plus de pollution.
Peut-être qu’il y aura des robots qui feront la cuisine, que la nature sera respectée, qu’il n’y aura plus de terroristes dans la nature.
Peut-être qu’il y aura des maisons de rêve, des nouvelles espèces d’animaux, des monstres, de nouvelles langues, de nouveaux pays, des écoles volantes. Tous les pays seront unis, il n’y aura plus du tout de guerres.
Tout ce qu’on a vécu sera fini. Par exemple, la ferme avec les fourches et le travail à la main. Il y aura des robots. Dans 30 ans, les voitures voleront. je trouve que l’air d’avant était plus pur que maintenant. L’air est pollué. Je voudrais bien vivre dans le monde d’avant, mais il faudrait l’école d’aujourd’hui.
Il y aura des avions qui volent à l’envers et des animaux qui marchent dans le vide mais qui ne tombent pas.
Il y aura des voitures volantes pour éviter les embouteillages. Elles seront équipées de moteurs à eau.
Il y aura des humains avec des cœurs artificiels. Tout se fera avec la technologie. On ne mangera plus que des légumes. On ne vieillira pas. Il y aura des machines pour stopper le développement de son corps, pour éviter les maladies. Il y aura de nouvelles espèces. On découvrira de nouvelles galaxies et des planètes. On pourra se déplacer à la vitesse de la lumière. On pourra aller dans Internet. On pourra se téléporter. Il y aura des trains sans rails. Il y aura la paix dans le monde. On pourra ressusciter des personnes. La machine à remonter le temps existera. Il faudrait garder les arbres.
J’ai peur qu’on n’arrête pas la pollution et que ce soit un monde de déchets, des rivières de déchets. On ne pourra pas respirer. Peut-être qu’on sera obligé de quitter la terre et d’aller sur Mars. On aura détruit la terre, parfait ! peut-être qu’on fera la même chose avec Mars, ou peut-être pas. Qui sait? Peut-être que les robots nous remplaceront, ou épuiseront toutes les ressources de notre planète. Qui sait?

Ce matin, je me suis un peu perdu

Extraits d’un texte collectif écrit par les enfants de CM1 et CM2
de l’école Simone Darcel de Plessala

Ce matin, je suis parti me promener tout seul avec mon vélo au gué de la Roche au cerf, dans la douceur des arbres et avec l’envie de rêve. J’ai entendu des cris, des froissements, le bruit de la nature, les poissons, les mouches et les abeilles, les biches et les cerfs. J’ai vu une forêt et des feuilles qui me tombent dessus. Que c’est beau, avec l’eau, on dirait que la lumière bouge. J’ai entendu des personnes parler, les copains sous les arbres, l’eau qui courait à pleine vitesse, les abeilles battre le calme. Je sentais ma transpiration couler. J’ai entendu les insectes voler, c’était bizarre. J’ai ressenti le vent. j’ai écouté le bruit de l’eau, sa douceur. J’ai vu le soleil qui se reflète sur l’eau. J’ai entendu. C’était doux.

Je me suis un peu perdu.
J’ai pris le mauvais chemin. Je me suis perdu en regardant les fleurs, l’ombre des poissons, l’ombre des arbres, beaucoup d’ombres et le soleil qui se reflète sur les rochers, la lumière. Je sentais la fraîcheur de l’air et les petits insectes. Je me suis réfugié dans une forêt, les insectes se posaient sur moi, j’ai vu le soleil se cacher. Je me suis un peu perdu vers les herbes avec la mousse et les fleurs. J’entendais marcher les animaux, des pieds gratter le sable, j’étais craintif, les feuilles tombaient. Je me suis assis sur un rocher. Je sentais les gouttes qui coulent sur ma peau. Il y avait une fourmi sur ma chaussure et beaucoup d’ombres. J’étais comme chez une personne que je ne connais pas.

Je me suis assis près de l’eau. C’était calme. La lumière était apaisante. Je me suis endormi dans le vent, avec mes habits et la chaleur.
Les arbres me protégeaient de la pluie et du vent, mais laissaient passer la lumière. J’étais à l’ombre, les arbres me cachaient du soleil comme un parasol. A l’ombre, c’est plus joli. Je sentais sur ma peau l’eau, les feuilles et le vent.
C’était une merveille de dormir au bord de l’eau en entendant les branches craquer, le bruit des arbres, des gens qui parlent, des grands qui courent.
J’ai rêvé d’insectes, de voix près de moi, de battements d’ailes et j’ai senti l’herbe sèche, les orties et les ronces. Une ortie m’a piqué. J’ai rêvé de plein de choses. j’étais avec mes copains. Puis j’ai entendu des bruits de pas. (…)

Ma famille vient de Bretagne

Extrait d’un texte collectif écrits par les enfants de CM1 et CM2
de l’école Le Blé en Herbe – Langourla

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La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a un nez pointu et des oreilles. C’est quelqu’un qui est gris. Son métier est de ne pas se faire manger. Il est rapide.
La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a une langue et qui boit l’eau de la mer. C’est quelqu’un qui est méchant. Son métier est de filtrer l’eau. Il se déplace avec ses petites nageoires.
Ou alors, c’est quelqu’un qui a un nez, des cheveux et des nageoires. C’est quelqu’un de gentil. Son métier, c’est policier. Il saute.
La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a un gros nez et qui est poilu. Son métier, c’est de produire de la laine. Il saute.
La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a une longue langue et qui boit la mer. C’est quelqu’un qui est méchant. Son métier, c’est de faire des dragées. Il se déplace en vélo.
La carte de la Bretagne ressemble à un animal qui a un aileron. Il est méchant. Il mange les poissons. Il se déplace en sautant.
La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a le nez pointu, des cornes pointues et des ailes pointues. C’est quelqu’un de méchant parce qu’il crache du feu. Il se déplace en volant rapidement dans le ciel.
La carte de la Bretagne ressemble à un monstre. Son métier, c’est de faire peur aux fantômes. Il se déplace en rampant comme les serpents. Il est rapide comme l’éclair et quand il est joyeux, il saute partout.
La carte de la Bretagne ressemble à quelqu’un qui a des poils longs, trois oreilles et qui est maigrelet. Il vole. Son métier est de sauver les animaux.
Ou alors, c’est quelqu’un qui a un gros nez et une grande bouche. Il est méchant et baveux. Son métier est de manger des chiens. Il marche avec des bottes de 7 lieux.
Ou alors, c’est quelqu’un qui a un front en forme de triangle, qui a une bouche géante et qui est gros. Son métier est de manger plein de choses. C’est quelqu’un de bizarre, de malin, de joyeux. Il marche lentement.

Mon petit monde

extraits d’un texte collectif écrit par les enfants de CM1 et CM2
de l’école Le Blé en Herbe – Langourla

Chez mes copains

Chez mon copain Titouan, la vache m’énerve, elle est rouge. Chez Titouan est un lieu que j’aime bien. On y entend la magnifique voix de Titouan. Je voudrais que Kélia soit là, avec Titouan et moi. Il me dirait «parle à ma main».
Chez mon voisin, c’est bof comme un oiseau jaune
Chez ma voisine, c’est bien comme un chat vert
Chez Kélia, c’est joyeux comme un chien violet clair
Chez Elsa, c’est comme un chat jaune et marron joyeux et amusant
J’aime bien être chez mes copains. On y entend plein d’oiseaux. Je voudrais que quelqu’un soit là. Il me dirait ce que je dois faire.
Chez mes copains, c’est super bien comme un chien bleu
Chez Titouan, je suis joyeux, je vois des vaches noires et blanches

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Dans ma famille

Chez mon cousin, on joue beaucoup à un jeu vidéo bleu sur un ordinateur
Chez mes grands-parents, c’est rigolo comme une vache violette
Chez mes grands-parents, c’est chaleureux comme un chat orangé
Chez mes grands-parents, je suis libre comme un cheval jaune
Chez mon arrière grand-mère, c’est joyeux comme des chats blancs
Chez mon oncle, c’est comme des chats blancs joyeux
Chez mes grands-parents, je suis contente comme un singe rose
La maison de mes grands–parents est joyeuse comme la colombe blanche
Chez mon papy et ma mamie, c’est comme une vache orange qui les embête
Chez ma mamie, c’est joyeux comme un pingouin rouge
Chez mes cousins, c’est moyen comme des cochons d’Inde jaunes
Chez mes grands-parents, c’est bien comme une poule bleue

Mon pays est un paysage extraordinaire

Un extrait des textes communs écrits par les élèves
de la classe de Guillaume Kerboeuf et Alexandra Pecheur
CM2 – Ecole Les Hortensias – Illifaut

Mon ami, viens me rejoindre ici.

Mon pays, c’est un village hyper grand. Il y a un grand bourg coloré et une église gigantesque. Ma maison est jolie.
Mon pays, est très génial. C’est calme. Il y a beaucoup d’endroits pour s’amuser. Il y a une épicerie où nous achetons des bonbons.
Dans mon pays, il y a beaucoup d’étangs et des écoles.
Dans mon pays, il fait beau mais il pleut souvent. On peut aller se promener, jouer avec les amis.
Mon ami, viens me rejoindre ici. Je ferai un gâteau, je te montrerai les fleurs. Nous irons à la piscine et je te montrerai ce que c’est. Nous irons acheter des bonbons.
Mon pays, c’est le pays breton. Tout le monde est gentil, les animaux sont libres comme l’air. Il y a une école où les enfants sont unis et un directeur extraordinaire. Il fait toujours beau.
Dans mon pays, il y a plein de fleurs hyper grandes. On peut jouer à cache-cache dans les fleurs. Il y a aussi un lapin blanc, des cochons, des vaches, une carte au trésor avec un grand trésor, une grande, grande piscine avec un plongeoir. On peut faire du camping. On a plein, plein de robes avec plein de couleurs. Il y a aussi un grand labyrinthe.
Dans mon pays, on peut faire du vélo, pêcher, jouer au foot. Chez nous, il fait souvent beau. On se promène, on achète des bonbons, on fait des achats. Avec mes amis, on a des cabanes, on t’y emmènera. On pêche, on fait du vélo, du foot et tu pourras venir avec nous.
Dans mon pays, il y a un paysage extraordinaire. Il y a une église avec des oiseaux et plein de maisons. Peux-tu venir? Il n’y a personne malgré de beaux paysages. Viens, s’il te plaît.

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On entend le soleil se coucher

On entend le tracteur qui va dans les champs, l’écureuil, les enfants à l’école.
On entend les oiseaux chanter, la maison craquer, une poule qui cocote, un ballon se dégonfler, un avion dans les airs, les vaches meugler, un chat miauler, un chien aboyer, l’ambiance dans le stade de foot, les voitures rouler et les feuilles s’envoler.
On entend dans la nature les animaux et la rivière qui coule.
On entend une chansonnette, une porte qui grince, l’océan déchaîné, le bruit du vent, l’horloge qui tourne.
On entend le vent souffler.
On entend des miaulements, le bruit des feuilles, la rivière, les licornes magiques et les portes qui claquent.
On entend le bruit des oiseaux, un hérisson pleurer, le vent, les feuilles qui tombent, l’herbe qui souffle, la tempête arriver, la vague et le chant des animaux.
On entend l’âne qui fait «hihan, hihan», le vent qui souffle et le car arriver.
On entend le bruit des oiseaux, les lapins qui racontent une histoire, le vent nous souffler des mots et quelque porte claquer.
On entend les oiseaux qui chantent, les arbres qui parlent, le vent qui souffle, les herbes qui volent, les arbres qui font du bruit et ma petite soeur qui pleure.
On entend le chant des fleurs, les arbres qui essaient de me raconter une histoire puis la neige qui tombe à son tour. On entend les feuilles d’or qui fleurissent, les vaches qui font «tic-tac». Ça m’amuse beaucoup mais ce que je préfère, c’est d’écouter le feu craquer.
On entend les vaches qui discutent, le vent, les oiseaux qui chantent, la neige qui craque, les poules picorer, mon frère rigoler et les branches tomber.

 

Ce pays que j’habite

Quelques extraits d’un texte commun écrit
dans les classes de 6ème A et C de Yannick Saint-Raymond
collège Per-Jakez Hélias – Merdrignac

Vivre dans le Mené

Vivre dans le Mené, ça veut dire connaître la forêt, les chevreuils, les vaches, les cerfs, les champs, les lapins, les chats, les chiens, les oiseaux, les furets, les renards, les hérissons, les rues, les chats, des chemins, le bourg, le terrain de football, des chats, des chiens, des poules, des vaches, des lapins, la médiathèque, des campagnes, des poulets, des lièvres, la boulangerie, la campagne, les chemins, les ânes, les sangliers, les biches, la ferme, chez mon papy, les veaux, la forêt, un bar à cigarettes, sa maison, son bébé chien, la ferme, des champs, un chat, un chien, des cochons, des forêts, des prés, des maisonnettes, des écureuils, le centre ville (avec une voiture), les cochons, les poules, un rouille-gorge, des chevaux, la nature, la campagne, les rivières, les écureuils, les lièvres, la nature, les papillons, les forêts, les villes, les chiennes, les chattes, les chevaux, des plaines, les moutons, des lacs, des herbes douces que je regarde, des sangliers, des cerfs, le val, la rivière, les insectes et plein d’autres animaux, des étangs, des églises, des espaces de jeux, des poissons, des mouettes, un village, une chute d’eau, des renards, la forêt avec mon vélo, des vide-greniers, des chevreuils, la route, les escargots, les chèvres, les coqs, les poules, les hérons, les mouettes, la forêt de la butte à Margot, des truites arc-en-ciel, ma poule, les pigeons, les moineaux, les lacs, les faons, des parcs, les grenouilles. C’est très calme, on marche du mercredi au dimanche.

 

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Les gens d’ici

Les gens d’ici sont agriculteurs (c’est le métier du bonheur), pépiniéristes, fleuristes, barman, marchands, professeurs, laitiers, garagistes, agriculteurs, aident les personnes âgées, sont nourrices, agriculteurs, fermiers, ouvriers chez Kermené, fermiers, maires, agriculteurs, coiffeuses, nourrices, fermiers et fermières, coiffeurs, professeurs, coiffeurs, agriculteurs, infirmiers, charpentiers ou même dans la maçonnerie, restaurateurs, SDF, barmans, opticiens, boulangers, coiffeurs, garagistes, agriculteurs, coiffeuse, boulangère, agriculteurs, boulangers, agriculteurs, électriciens, chasseurs, ouvriers, infographistes, cuisiniers, boulangers, agriculteurs, fermiers, coiffeurs, familles d’accueil, boulangers et pâtissiers, épiciers, agriculteurs, boulangers, agriculteurs, chasseurs, boulangers, fleuristes, bouchers, agriculteurs, routiers, fleuristes, ouvriers, professeurs, agriculteurs, professeurs, agriculteurs, écrivains, maçons. agriculteurs, chauffeurs, professeurs d’équitation, gendarmes, agriculteurs, docteurs, professeurs, restauratrices, chasseurs, travaillent à Kermené, sont agriculteurs, porchers et laitiers, agriculteurs, boulangers, barman, chasseurs, agriculteurs, agriculteurs, agriculteurs, comme mon père et ma mère.

 

On est bien ici

On est bien ici parce qu’on a de l’eau, du soleil, un terrain de foot, des amis, du calme, la nature, un endroit qu’on connaît, tout plein de bonheur.
On est bien ici parce qu’il neige, qu’il fait du soleil, que j’ai mes chiens autour de moi, que ma famille est auprès de moi.
On est bien ici parce qu’on a de grandes maisons, du soleil et que l’on vit dans un endroit calme.
On est bien ici parce qu’on a la campagne, les animaux, les rivières, les forêts, sa famille, des amis géniaux.
On est bien ici parce qu’on a du soleil et des cousines dans le coin, ses ami(e)s près de soi des voisins, du soleil et des nanas, des magasins, de l’inspiration, des voisins, des gens, du monde autour de nous, des endroits où on peut jouer, des bonbons.
On est bien ici parce qu’on n’a pas de bruits et que c’est calme, parce qu’on a des gens polis, des cafés et des bars, du soleil, de la neige, un parc à cerfs à côté de chez nous, les rivières, parce qu’il fait beau en été, qu’on a un grand soleil, qu’il y a beaucoup d’animaux.
On est bien ici parce qu’on a la famille avec nous.
On est bien parce qu’on a ce qu’il faut.

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